Encore une bonne lecture de Joseph Facal.
Pour moi, le progrès, c’est plus de prospérité pour le plus grand nombre. C’est viser collectivement l’excellence. C’est aider ceux qui sont vraiment mal pris, qui ne sont jamais ceux qui crient le plus fort.
Le mot «progressiste», lui, est devenu une bannière qui rassemble des gens pour qui tous les problèmes se règlent avec la même médecine : plus d’État, plus d’impôts, plus de dettes, plus de bureaucratie et moins de liberté de choix et de responsabilité individuelle.
Si on est contre ce menu, on est la méchante droite qui s’oppose à la gentille gauche. Au Québec, pour être de «droite», il suffit de critiquer les syndicats quand ils le méritent, de croire que la ritournelle de la «solidarité» masque souvent l’égoïsme corporatif, et de vouloir des finances publiques en ordre.
Nos «progressistes» locaux en veulent à un monstre «néolibéral» qui n’existe nulle part au Québec.
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