2005/12/01

En Chine - novembre décembre 2005 (2)

Toujours vivant dans la pollution. Ça ne parle pas fort fort de Kyoto ici.

Il fait chaud (15 degrés actuellement) et presque beau, i.e. le soleil au loin, derrière la "brume sèche" (dixit Météomédia).

Bien occupé pour le travail et pour essayer d'avoir une connexion Internet qui fonctionne à l'hôtel. Le service est intermittent et disons que leur service technique est assez faible merci. Donc, malgré mon changement de chambre, mon changement de matelas et la réparation du service de chauffage, pas vraiment moyen d'avoir quelque chose qui fonctionne.

Mais, il y a toujours le temps de se faire surprendre, on est en Chine après tout :

- déjeuner avec un des joueurs de basketball que j'ai vus lors de ma première soirée ici. Les joueurs demeurent au même hôtel que moi. Tous des Chinois sauf un joueur par équipe, qui se trouve à être un noir de 6'6" dans le cas présent. Bien sympathique. Je suis retourné voir la partie dimanche après-midi. Shanghai a encore perdu...

- marche dans Shanghai un soir cette semaine. À un moment donné, je commence à être sérieusement perdu. Je pense marcher vers mon hôtel, mais après un bon 45 minutes de marche, je ne suis vraiment plus certain. Donc, je prends un taxi. Je lui donne la carte de l'hôtel et le gars commence à m'engueuler en mandarin. Finalement, je comprends que je suis à moins de 200 mètres de l'hôtel !!! Ça m'a coûté 2$ de taxi !

- à l'épicerie, mon panier est plein, mais rendu à la caisse, aucune idée pourquoi, la fille ne passe pas mes articles mais les met plutôt en-dessous de la caisse. Donc, au lieu d'avoir environ 20 articles, je me retrouve avec un jus de pomme et une bouteille d'eau. Pas un gros souper...

- je me suis acheté une montre Tag la fin de semaine dernière. Un gros 5$. Elle ne fonctionne plus. Je retourne donc m'en acheter une autre la fin de semaine prochaine...

- enfin, et là, ça valait de l'or, je me retrouve coincé dans le trafic hier soir. Devant nous, un gros conteneur 40'. À une lumière rouge, le conducteur du conteneur débarque et ouvre la porte arrière du conteneur. Le conteneur est plein... de monde !!! Environ la moitié des gens débarquent. Des employés d'une usine je suppose. Je suis vraiment resté bête, mais pour le reste du monde, c'était la normalité la plus banale.

Recommandation personnelle : vu sur DVD, la minisérie Traffic (qui a précédé le film du même nom). Même réalisateur que pour la série 24. Même rythme.

Vendredi : KARAOKE !

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