2006/08/23

Éduquer

Avec le management et les technologies, l'éducation représente assurément un sujet qui me passionne.  Et vraiment dans le sens de passion : il ne faut pas trop me partir sur le sujet parce que je n'en démords pas !  D'ailleurs, je vois clairement les liens qui unissent les trois champs.  Entre autres, la synthèse d'une situation complexe afin d'avancer ou de l'expliquer.  Et en ce sens, le contact avec les autres demeurent probablement la complexité maximale !

Pour revenir à l'éducation, on n'entend plus beaucoup parler de la réforme ces temps-ci.  J'espère quand même que certaines personnes au ministère continuent de regarder du côté de la Suisse, notre modèle de base...

L'évolution des médias traditionnels

Tiens, tiens...  Les ventes de Time Magazine qui péréclitent.  Les blogs de journalistes qui se multiplient.  Les croisements inter-médias de plus en plus nombreux.

Un billet intéressant de Mario. 

L'éducation du 3e âge

Wow !  Dans la lignée de ce billet sur la recherche de quelque chose de plus grand, cette proposition que s'apprête à faire Harvard aux nouveaux retraités :

Enrollees would use their years of experience in science, government, business, or the arts to solve social problems. [...] step one in seeing the elderly as a source of wisdom rather than a national burden.

2006/08/22

Meeting matinal

Dans mon ancien monde, j'avais pris l'habitude du meeting du lundi matin.  On se retrouvait alors (directeur général, ventes, ingénierie, achats, production) autour de la même table pendant environ 2 heures (tout dépendant de la situation - surtout - et de l'humeur générale - un peu).  Au menu : un peu de tout, en partant avec le récit de notre fin de semaine et en finissant avec les situations problématiques.

Lors de la prise de contrôle de la compagnie, la nouvelle direction n'a pas maintenu ce rituel... avec des résultats en conséquence.

Une lecture sur le sujet du morning meeting.

À la recherche de cadres

Ça fait plusieurs années qu'on entend parler du manque à venir de cadres et de haut dirigeants.  Un article intéressant sur le sujet.

En espérant que ça se poursuive au moins pendant un an !

2006/08/18

À la mode : l'environnement

Dans la lignée de GE et de son programme ecoimagination, le green movement est désormais à la mode (ou vice-versa).

Culture américaine des affaires

Pour revenir rapidement sur ce post, un petit article qui nous dit que peu importe ce qu'on peut en dire :

The American way of doing business...is still admired in most of the world.

Si on se fie à la façon dont les Chinois parlent de New-York, je ne peux qu'aller dans la même direction.

Un boss ?

Tu vas faire un MBA ? Tu veux devenir un boss ?

Ce qui est certain, c'est que tout le monde apprécie un (bon) boss.

KPMG

Pour revenir rapidement sur le choix de carrière, je ne sais pas encore exactement quelle est la nature des ouvertures chez KPMG, mais ce qui est certain, c'est qu'il y en a !

Les tout débuts d'un CEO

Au cours de la dernière année, j'ai travaillé sous les ordres de 3 CEOs différents. Dans deux de ces cas, ils venaient tout juste d'entrer en poste ou tout comme.

En tant qu'employé, il a été fort intéressant de voir quelles ont été les premières actions qu'ils ont effectuées. Selon cet article, les 100 premiers jours sont cruciaux.

De mon côté, j'irais même plus avec les 10 premiers jours. Principalement au niveau de l'évaluation du personnel. L'identification des joueurs clé fait en sorte que ce sont ces derniers qui donneront l'image initiale de la compagnie. C'est donc dire que si les mauvais joueurs sont identifiés, l'image pourra être erronée.

Marketing

Pas encore de cours de marketing, mais ça s'en vient...
Rendu là, il ne faudrait pas tomber dans le panneau des 10 erreurs les plus fréquentes en marketing !

Quelques autres lectures portant sur le marketing :
Les femmes de Nissan
L'innovation commence avec le client

Acheter localement ?

Un organisme comme Équiterre mentionne souvent qu'il est préférable d'acheter localement.

Est-ce toujours vrai ?

Concours pour enseignants scientifiques

Les sciences et plus particulièrement la vulgarisation scientifique m'intéressent vraiment. Un peu plus et j'enseignais les sciences au secondaire dans un passé assez récent.

Ce qui m'attire dans ce monde, c'est principalement l'idée d'analyser un sujet en profondeur pour ensuite synthétiser le tout (la vulgarisation quoi !). Pour ce faire, ça prend une curiosité assez spéciale et aussi, une bonne culture générale et un certain sens de la débrouillardise.

Toutes ces caractéristiques sont illustrées dans ce concours pour les enseignants de sciences.

Passions

Rencontre avec le service de placement hier. Plusieurs conseils donnés, sur le CV entre autres. Mais aussi, une recommandation : penser au plus vite à son choix de carrière. C'est un peu vague, mais reste qu'on suggère de se concentrer sur deux choses. Ses forces et faiblesses. Ses passions.

Je vais laisser faire mes forces et faiblesses pour l'instant.
Pour ce qui est de mes passions, quelques-unes me viennent instantanément en tête :

Technologies
Musique
Écriture

Journaliste pour le Rolling Stones Magazine, ça en couvre au moins deux non ?

Fondateur de Pandora, ça en couvre encore deux !

L'ère numérique

C'est frappant de voir toute la place que prend le numérique aux HEC. Que ce soit avec Zone-Cours, HEC en ligne, l'agenda web ou le site personnel WSS ou les bases de données accessibles de partout, beaucoup de ressources sont accessibles uniquement en ligne.

Parmi les secteurs directement influencés par ce passage au numérique, on pense tout de suite au monde culturel (musique, cinéma et bientôt les livres). On retrouve aussi toute l'industrie journalistique. En ce sens, un excellent article du American Journalism Review et, en parallèle, la réaction du Guardian.

Mine d'or pour les travaux

Un recueil des citations politiques et historiques.
(via le Kiosque Média)

Le conteneur

Une série d'articles intéressantes sur le monde du conteneur.
(via le Kiosque Média)

La Chine

Discussion intéressante hier soir avec des étudiants chinois au MBA anglophone.

La Chine demeure pour moi un sujet central. J'essaie toujours d'en savoir un peu plus sur l'état actuel des choses et surtout, sur l'avenir économique/social/culturel de ce pays intrigant.

En vrac, une série de lectures portant sur le sujet :

Un livre à lire (en français) sur Mao
Un livre écrit par un correspondant ayant passé 7 ans là-bas
L'influence de la Chine sur la Corée du Nord
Le nouveau train menant au Tibet
La pollution en Chine
La venue des Olympiques en 2008
Les opportunités d'affaires en Chine
Les besoins en termes de management et d'éducation
Sun Tzu : the Art of War
Google en Chine
L'économie chinoise en général

2006/08/15

World Jump

Une petite dernière pour aujourd'hui. S'il y en a qui remettent encore en question le pouvoir d'Internet, jetez un coup d'oeil à ce site et aux résultats.

(via ipub)

Racisme

Aujourd'hui, atelier sur le culture du MBA. En gros, c'était destiné à l'intégration des étudiants étrangers (qui forment quand même 60% des étudiants du MBA aux HEC). En fait, je dirais plus que c'était destiné à la coopération avec ces étudiants et aux difficultés qui pourront être rencontrées.

Un seul thème n'a pas été abordé : sommes-nous racistes ?
(via le Kiosque Média)

Scandale !

Ok. Les modes de régulation s'appliquant aux états financiers.
C'est le temps d'en rire un bon coup.
- Professeur du cours de mise à niveau en comptabilité

Pour un savoir un peu plus sur les nombreux scandales financiers (via le Kiosque Média).

De l'utilité du blog

Ça y est, je blog. Comme je le disais au tout début, l'idée ici est d'arriver à avoir un (tout petit) peu de recul face au MBA.

Reste que cet outil de communication est de plus en plus populaire dans les entreprises, notamment au niveau de la direction. Bien qu'il n'y ait actuellement qu'un seul CEO du Fortune 500 ayant son blog, ça ne saurait qu'augmenter. Une entreprise désirant mettre en place une politique de transparence devrait y voir bien plus qu'un banal journal de bord.

Au niveau du MBA, j'ai déjà fait mention d'un site regroupant plusieurs blogs, mais le niveau demeure assez pauvre d'après ce que j'ai eu le temps de voir. Tout dernièrement, un autre site est apparu. À voir.

Mettons également tout de suite quelque chose au clair : si un partenaire de classe / un professeur / un directeur / n'importe qui lit ce blog et n'est pas d'accord avec quoi que ce soit... tout ça n'implique que moi et reste que des idées écrites rapidement, sans trop me relire. Bon, c'est dit. Après tout, avec les politiques de plagiat et tout le tra la la, on ne sait plus à qui/quoi se fier !

Enfin, j'utilise actuellement l'outil blogger pour publier ce site. C'est bien, mais l'interface de connection ne permet pas à mon avis de lancer rapidement des idées (lors d'un cours par exemple). Microsoft vient de lancer son propre outil, il faudra voir si c'est plus simple.

Des conseils

Puisqu'on ne crache jamais là-dessus, quelques conseils d'étudiants au MBA.

En vrac :

Ne pas acheter tous les livres.
Penser avant de parler en classe.
Voyager.
Déterminer ce qui est important pour soi et y mettre ses efforts.
Acheter des t-shirts !

Créativité (prise 2)

Si jamais j'ai 2 secondes, il faudrait bien que je pratique ma créativité... soit en dessinant manuellement ou avec Photoshop.

Choix de carrière

Ce jeudi, déjà un premier atelier qui nous dira
"Où le MBA nous mènera-t-il ?"
De mon côté, aucune idée.

Voici le top 3 actuel des préférences des étudiants américains au MBA.

#1 : McKinsey
#2 : Google
(qui recherche des étudiants avec un bon technical grounding)
#3 : Goldman Sachs

Les vrais actifs

En plein cours de mise à niveau en comptabilité, je suis donc plongé dans les états de résultats, bilans, actifs, passifs, capitaux, débit, crédit...

J'ai hâte de voir si la notion de capital humain sera abordée. Je ne suis pas ferré sur le sujet, mais je trouve intéressante l'idée de placer le capital humain d'une entreprise dans ses actifs. Ainsi, les mises à pied prennent une autre perspective. Bon, l'idée n'est vraiment pas nouvelle, mais j'aimerais connaître l'opinion des autres étudiants sur le sujet.

Deux pistes sur le sujet :
Intellectual Capital : The New Wealth of Organizations
Talent Management : A Critical Part of Every Leader's Job

Leadership et éthique

Le leadership et l'éthique. J'ai comme l'impression que je vais en entendre parler en masse pendant la prochaine année. On peut bien donner autant d'exemples qu'on veut, mais reste qu'à mon avis, malgré le fait que certains parlent du MBA comme de la philosophie en action, ça ne s'enseigne pas.

Qu'est-ce que le leadership au juste ? C'est certain que ça réside beaucoup plus dans les actions que dans le titre. Mais est-ce que la personnalité joue tant que ça ? Possiblement, mais pas nécessairement dans le sens qu'on pourrait penser a priori. Le style rah-rah-rah de Jack Welsh étant désormais controversé, l'heure est au leader silencieux. Je vais un peu dans la même direction, surtout après avoir lu les livres de Jim Collins qui tendent vers la même conclusion. En plus, ça m'arrange un peu parce que je me considère plus du type silencieux.

Leadership = vision ? Non plus.

Leadership = sagesse ? Non, évidemment. Et la sagesse, ça ne s'achète pas.

En fait, un vrai leader, en ayant des traits de personnalité inspirants, réussit à rendre les autres à l'entour de lui meilleurs.

Cet article dresse quelques-unes de ces caractéristiques (dont la sagesse) :
Generosity
Patience
Integrity
Conscious Effort
Meditation
Transcendent Wisdom

Cet autre article donne quelques autres pistes :
A giving spirit
A balanced perspective
Self-awareness
A moral compass

Et c'est là en fait que ça devient intéressant, parce qu'on touche à l'autre thème à la mode : l'éthique. À l'heure où le monde des affaires doit regagner la confiance du public et où les enjeux éthiques sont de plus en plus intéressants (on n'a qu'à penser aux OGM), il y a place à tout cela dans un programme MBA.

Je crois que le sens de l'éthique est une question de culture d'entreprise. Et que cette culture, elle est justement dictée par les leaders (officiels ou officieux). D'où l'importance de bien saisir la portée de ses actes, même les plus minimes.

2006/08/14

Étudiant recherche...

People are looking for a way to make a difference. They're concerned about the direction the world is going in. There's so much bad news everywhere. Many people feel like their voice isn't being heard, their vote doesn't count.
- Paul Rice, CEO et fondateur de TransFair

Autant il y a de motivations possibles pour aller faire son MBA, autant il y a de possibilités de pousser la démarche un peu plus loin.

Créer une compagnie, où "the most enjoyable part of my job is that it isn't really a job. It's an opportunity to create a business out of an idea."

Mélanger l'entrepreneurship et l'environnement, à partir d'un projet à l'intérieur d'un cours.

Aider des compagnies à démarrer, à l'intérieur d'une firme sans but lucratif.

Passer son Spring Break à voyager, étudier une nouvelle langue ou travailler à une cause humanitaire.

Bref, rechercher quelque chose de plus grand, où on peut faire une différence.

Créativité

In learning, we draw an abstraction from concrete objects and events. In creating, we make our own concrete objects and events out of the abstraction; we bring the abstraction down and back to its specific meaning, to the concrete; but the abstraction has helped us to make the kind of concrete we want the concrete to be. It has helped us to create - to reshape the world as we wish it to be for our purposes.
- Ayn Rand dans le préface d'Atlas Shrugged

Quelques initiatives font surface ici et là, mais en général, je crois que le peu d'accent mis sur la créativité demeure une faiblesse de plusieurs programmes universitaires, encore plus particulièrement en ingénierie.

Pourtant, je crois que la créativité s'apprend et surtout, qu'il faut s'y entraîner (via gycouture).

En étudiant avec des personnes ayant de l'expérience en marketing et en communications, j'espère vraiment être en mesure de mettre en oeuvre cet aspect créatif.

J'aime Montréal

MBA education is about location, location, location
IT’S WHERE YOU study, not what you study that counts

Si on se fie à cet article, c'est en Europe que j'aurais dû aller faire le MBA. Des programmes relevés, des étudiants étrangers, des villes intéressantes, tout y est.

Il y a aussi l'Université de Californie qui offre une formation pratique axée sur les châteaux de sable sur la plage d'Huntington, l'Université d'Aix-en-Provence qui met l'accent sur l'escalade, l'Université de BC qui a des équipes de volleyball de plage et de voile, diverses universités qui donnent des cours sur le sustainable development au Costa Rica et finalement, des programmes Executive MBA qui se passent dans des resorts touristiques et sur des terrains de golf (tous les exemples sont tirés de cet article).

C'est sûr que ça fait baver d'envie un tout petit peu, mais je peux dire qu'après avoir voyagé quelque peu au cours des dernières années, c'est toujours avec joie que je redécouvre Montréal. Ça demeure une petite ville, culturelle, bilingue, près de l'eau... agréable quoi. Je vais y trouver mon compte, c'est certain.

Mais quand même, à quand un concours de châteaux de sable à la plage Doré ? Ou une expédition aux Îles-de-la-Madeleine ?

Le programme du MBA

Dernièrement, j'ai reçu mon horaire pour les 3 premières périodes, soit jusqu'à la mi-janvier 2007. En tout, 18 cours qui semblent tous intéressants. Reste maintenant à voir comment tout ça se tiendra ensemble. Je suppose que cet élément d'ensemble viendra du programme lui-même et de la direction du programme MBA.

Nous avons entendu brièvement M. Talbot, le directeur du programme, lors du déjeuner de vendredi dernier. Il a surtout mis l'accent sur les résultats scolaires (les "notes"), ce que je ne comprends pas vraiment... En ce qui a trait à M. Toulouse, le directeur des HEC, jamais entendu parler. Reste que ces deux hommes auront leur mot à dire sur la réussite de la prochaine année, surtout si on se fie à cet article qui présente que les top business schools have top deans.

Ils pourraient s'inspirer (s'ils ne le font pas déjà) de ces différentes initiatives ou exemples :
- le nouveau programme multidisciplinaire de l'Université Yale,
- ce regroupement de doyens sur les programmes de management,
- la vision globale de UCLA.

Mais bon, au bout de la ligne, je crois toujours que les professeurs feront toute la différence. En ce sens, un très bon départ ce matin avec un professeur dynamique, structuré et qualifié.

En espérant juste qu'il ne manque pas de professeurs trop rapidement... sinon, il faudra penser à une réorientation de carrière.

Clientèle du MBA

Ainsi donc, tous les nouveaux étudiants du MBA se sont rencontrés vendredi dernier dans le cadre d'un déjeuner d'introduction. En tout, on parle de 2 groupes de 40 étudiants pour le programme en français et 3 groupes de 40 pour le programme en anglais.

Le directeur du programme a défilé les statistiques :
- environ 600 de moyenne au GMAT,
- plus de 30 pays d'origine (si je me rappelle bien),
- environ 30 ans d'âge moyen,
- environ 30% de femmes.

Entre les lignes, ça veut donc dire (on suppose) :
- du monde intelligent,
- un programme "vraiment" international,
- de l'expérience,
- dans une moindre mesure, un programme pas sexiste.

Regardons tout ça.

1) Le GMAT
600 de moyenne, ce n'est quand même pas la fin du monde. Surtout que, de mémoire, Concordia et McGill demandent plus. Mais qu'est-ce que ça prouve au juste ? Ça reste à voir. Dans cet article du Times, on mentionne "a good indication of whether a student can cope on the course but not necessarily a predictor of success". D'un autre côté, l'université américaine Stanford décidait récemment de ne pas obliger le GMAT.
À mon avis, le test en tant que tel ne veut pas dire grand chose, surtout dans le contexte d'un programme francophone. Par contre, ce que le résultat peut refléter, c'est le sérieux de la préparation et donc, par ricochet, le sérieux de la demande du candidat. C'est là que ça peut devenir intéressant, mais sans trop le prendre au sérieux quand même.

2) L'aspect international
Je me considère comme une chance le fait de partager mes cours avec des étudiants provenant de divers pays (Brésil, Bulgarie, Liban, France, Colombie, Chine, ...), mais est-ce que cela garantit par le fait même un apprentissage "global" ? Comme le mentionne le doyen de l'Université de Chicago, il en faut beaucoup plus pour vraiment considérer une formation internationale. Ça commence par les cours et ça passe par des programmes d'échange.
Je suis prêt à donner le bénéfice du doute pour l'instant, mais reste qu'avec un seul cours au programme (Entreprise face à la mondialiation, plus tard cet automne) et une visite à l'étranger d'une durée de seulement 2 semaines, ça parait mince.

3) L'expérience
Encore une fois, le même dilemme : à la base, l'expérience peut être un facteur intéressant, mais est-ce que ça garantit vraiment de meilleurs étudiants ? Comme le relate cet article, quelqu'un travaillant à temps partiel depuis l'âge de 13 ans et ayant fondé sa propre compagnie pourrait très bien être admis à Harvard.
Dans mon cas, j'admets volontiers que l'expérience acquise dans les 3 dernières années a beaucoup modifié ma vision du monde du travail. Ce faisant, je serai beaucoup plus intéressé et intéressant dans les cours.

4) Les femmes
Rien à redire là-dessus. Venant d'un milieu, l'ingénierie, grandement masculin, j'ai hâte aux premiers travaux d'équipe pour voir ce que cette présence féminine peut apporter. Qui sait, peut-être je vais me retrouver avec une "MBA Mom" !


Tout cela étant dit, il reste maintenant à éviter le "most annoyant student in class" ! (FYI, mon annoyance level est à low... ouf !)

2006/08/07

À l'attaque

Après une petite saucette en Inde, c'est la forme afin d'affronter le MBA qui commence déjà la semaine prochaine.

Longue pause donc sur ce blog, mais beaucoup de matériel en attente. Avec le site Bloglines (voir mes liens dans le coin inférieur droit de cette page), il est en effet possible de tenir à jour ses lectures et surtout de conserver les plus intéressantes. Me voilà donc avec plus de 100 billets archivés, traitant de différents sujets. Plusieurs pistes intéressantes sur les blogs, la technologie, les écoles de management, le leadership, etc.

Il devrait donc y avoir une avalanche de billets d'ici les prochains jours, si Dieu le veut !